

Mikaël MERCIER, Président de VAL'HOR : « Ce film a été fait avant que nous soyons sollicités pour en être partenaire. Ce film a séduit Val'Hor parce que, tout simplement, il est rare pour la filière de voir un film qui parle d'horticulture, qui parle des pratiques et qui tourne autour de ces problématiques. Et là, on a un film qui parle effectivement de la création des roses.
C'est déjà, en tant que tel, quelque chose de rare et il fait le lien effectivement entre la création des roses et puis la vie en société : il parle d'hybridation, il parle des difficultés. Il fait le parallèle entre les deux et tout cela nous a séduit.
Cela nous a séduit aussi car on pense qu'aujourd'hui on est à un moment, dans la filière, où il faut que l'on puisse recruter. Recruter des jeunes, recruter des jeunes talents. Des jeunes et puis des moins jeunes, parfois aussi des publics en insertion.
Or dans ce film on a trois personnes qui arrivent en insertion dans une entreprise de production. Et en fait on a tout dans ce film et c'est de ce point de vue assez remarquable. C'est comme s'il avait été quasiment préparé pour la filière, à un moment tout à fait propice, après une année et demie de crise extrêmement compliquée ! C'est un très très beau film à voir; un film où il y a beaucoup de messages qui sont portés. (...)
Le film a été réalisé par Pierre PINAUD qui a l'avantage d'être un passionné de fleurs, par ailleurs et qui d'emblée s'est dit que, dans le Cinéma, très peu de films tournent autour de l'horticulture. Or l'horticulture a un pouvoir visuel énorme et effectivement Pierre a mis en avant la différence entre un petit producteur qui doit se battre par rapport à une grande structure de production.
On voit tout cela dans ce film et il n'y a aucune faute technique. Il a été visualisé par des professionnels -fleuristes, horticulteurs, paysagistes- et au sein du bureau on a vu ce film : il n'y a absolument aucune erreur technique. Et c'est un film qui nous permet de voir les difficultés de nos métiers, les pratiques, les gestes, mais aussi le temps.
Le temps qui passe avec toutes les saisons qui s'enchaînent, les difficultés que l'on rencontre... Il y a vraiment pleins de messages en fait qui sont portés : l'insertion, la possibilité d'intégrer des jeunes dans nos métiers, ... C'est un film remarquable et je pense qu'il fera date.
Ce film a déjà une très bonne critique, y compris à l'étranger, car il exprime d'une certaine manière l'Art de Vivre à la française ! (...) Au sein de Val'Hor, nous avons été totalement séduits par ce film et cela nous semblait évident que l'on ait ce partenariat avec l'équipe du film. »
Source : Val'Hor
"Chers distributeurs et utilisateurs,
Au cours des dernières années, nous avons été en mesure de réaliser un développement exceptionnel en collaboration avec vous. Nous pouvons affirmer avec pleine certitude que nous sommes aujourd’hui en bonne santé.
Afin de garantir cet atout pour l’avenir et de pouvoir relever les défis à venir, les propriétaires de l’entreprise se sont penchés sur la question de savoir à quoi devrait correspondre la bonne stratégie pour l’avenir et un important changement a été effectué :
Le 3 mai 2021, l’entreprise familiale AriensCo a acquis 100 % des actions d’AS-Motor.
En tant que marque forte du groupe multimarque américain, nous nous considérons comme particulièrement bien armés pour l’avenir.
Nous tenons particulièrement à informer nos partenaires commerciaux de manière détaillée et précise de ce changement.
Certes, il reste des questions sans réponse, qui ne peuvent probablement pas encore être résolues. Cependant, il est certain que la marque AS-Motor restera un partenaire fort pour ses distributeurs.
AS-Motor continuera à se montrer à la hauteur de ses engagements, à savoir une qualité de produit très élevée, un niveau de service optimal, un excellent support de vente et de marketing et un très bon approvisionnement en pièces détachées."
Maria LANGE
Directrice Générale
AS-Motor GmbH
Mikaël MERCIER, Président de l’Interprofession de l’horticulture, la fleuristerie et du paysage a accompagné ce jour, mardi 27 avril 2021, Julien DENORMANDIE, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation et Alain GRISET, ministre délégué chargé des Petites et Moyennes entreprises, en déplacement en pays nantais à la rencontre des producteurs de muguet.
Objectif : évoquer la préparation de la célébration du 1er mai pour l’ensemble des acteurs de la filière française du végétal, à savoir les producteurs, les grossistes, les distributeurs et les fleuristes.
En 2019, 22 millions d’euros ont été dépensés par les foyers français1 pour l’achat de muguet à l’occasion. Si le muguet du 1er mai symbolise un brin de bonheur pour les Français, il représente aussi une fête cruciale pour la chaîne indissociable de passionnés que représentent les professionnels du végétal, dont les entreprises de production en France.
60 millions de brins de muguet sont produits en France, dont 80% en pays nantais. Ce sont 7000 emplois pour la récolte. Un tiers de la production est vendue par le réseau des fleuristes de France.
Pour Mikaël Mercier, Président de VAL’HOR : « Il va se vendre l’équivalent d’un brin de muguet par Français en un jour. La visite des deux ministres chez un producteur à Nantes a été l’occasion de leur rappeler l’importance de cette vente pour les professionnels du végétal, en particulier les fleuristes.
J’ai pu leur rappeler la nécessité d’encadrer cette vente afin d’éviter la concurrence déloyale des vendeurs à la sauvette. Après un 1er mai 2020 où le muguet s’était vendu partout, sauf chez les fleuristes, le 1er mai 2021 marque un retour à la normale. Il va permettre à tous de vendre et d’apporter ce brin de bonheur dont les Français ont tant besoin ».
Source : VAL’HOR
1 Panel consommateurs Kantar pour Val’Hor et FranceAgriMer, 2019.
Crédit Photo : ©2021-Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation-VAL’HOR
« C’est avec un immense regret que nous vous annonçons l’annulation de l’édition 2021 des JdC Garden Trends, une fois de plus imposée par la situation sanitaire actuelle.
La prochaine édition se tiendra du 29 au 31 mars 2022 au Parc Chanot à Marseille.
Nous avons tout mis en œuvre depuis le 16 mars, date de l’annonce du report des JdC Garden Trends initialement prévus du 7 au 9 avril, pour tenir l’événement du 2 au 4 juin 2021 à Marseille.
Malgré un travail intense avec les autorités pour pouvoir définir un format d’événement permettant sa tenue début juin, nous devons malheureusement constater que les conditions sanitaires ne sont toujours pas réunies pour tenir les JdC Garden Trends dans des conditions optimales.
C’est pourquoi, par principe de précaution, nous avons pris la décision d’annuler l’édition 2021 des JdC Garden Trends.
Nous concentrons désormais nos efforts sur l’édition 2022 des JdC Garden Trends et vous donnons rendez-vous du 29 au 31 mars 2022 pour fêter enfin nos retrouvailles.
Dans l’attente de ces prochaines rencontres, nous sommes heureux de pouvoir permettre à l’ensemble de nos participants de continuer la sélection de leurs collections 2022 avec la nouvelle "base produits" mise en ligne sur le site des JdC Garden Trends et qui référence déjà + de 2 000 nouveautés produits de plus de 320 fournisseurs/exposants
Nous vous remercions de votre fidélité et de votre attachement aux JdC Garden Trends.
Nous vous remercions sincèrement pour tous nos nombreux échanges, votre disponibilité et votre soutien sans faille.
Toute l’équipe marketing reste mobilisée pour préparer l’édition 2022 avec vous ! »
Catherine BERNARD-DARLET
Directrice Marketing des Salons Retail,
Anne Laure GIRBAL
Responsable Marketing & Communication,
Dehlia MICHELET
Chargée Marketing et Communication,
Emilie RAGOIN
Responsable Acheteurs,
Jean-Luc GARNIER
Directeur du Pôle Salons Industrie.
Source : Infopro Digital
Le ministère de la santé a souhaité mettre en place une nouvelle législation (que nous surnommons “Loi Santé”) afin d’informer les consommateurs des risques potentiels liés à l’achat des plantes pour leur santé (risques liés aux allergies, à la toxicité...).
Cette loi doit entrer en application à partir du 1er juillet 2021 et s’appliquera, dès lors, à tous les professionnels de la filière.
Tous les professionnels commercialisant certains végétaux identifiés dans l’arrêté interministériel du 4 septembre 2020 et considérés comme présentant un risque pour la santé humaine devront en informer les acquéreurs, préalablement à la vente.
Depuis que nous avons eu connaissance de cette nouvelle législation, nous avons monté un groupe de travail au sein de VAL’HOR, avec les représentants des fédérations, afin d’adapter cette loi pour :
- Informer au mieux les consommateurs ;
- Limiter l’impact sur l’activité des entreprises de la filière ;
- Prendre en compte toutes les situations particulières pour lesquelles il est compliqué d’avoir des outils d’information (ex: vente sur les marchés) ;
- Mettre en place les outils d’information utilisés (en cours de finalisation).
Il a été convenu et acté avec le Ministère que l’information sur les risques pour la santé pourra être faite sur le lieu de vente à partir d’affiches informatives officielles. L’information ne sera pas obligatoire de manière individuelle sur chaque plante.
La liste des plantes concernées par la loi a été travaillée conjointement entre les professionnels et le Ministère. De nombreuses adaptations ont déjà été apportées, permettant de passer d’une centaine de végétaux initialement à 58 aujourd’hui.
Ces 58 végétaux, représentant quatre sortes de risques pour la santé humaine, sont identifiés dans l’annexe de l’arrêté : toxicité en cas d’ingestion, allergie respiratoire par le pollen, réaction cutanéomuqueuse et phytophotodermatose (réaction cutanée anormale en cas de contact avec la peau et d’exposition au soleil).
L’Interprofession reste vigilante aux éventuelles évolutions de l’arrêté. Nous sommes des professionnels du végétal, donc des opérateurs responsables !
Nous devons assurer la sécurité de nos collaborateurs et de nos clients. Nous avons vraiment travaillé dans cet esprit afin d’apporter toute l’information à nos clients sans toutefois leur faire peur.
Soyez assurés de notre mobilisation sur ce sujet. »
Mikaël Mercier,
Président de VAL'HOR et Pépiniériste
« L'an dernier, la Covid-19 a profondément affecté la filière horticole à l'échelle internationale. Malgré l’envie très forte de végétal des consommateurs que l’on observe actuellement dans nos points de vente, beaucoup d’entreprises se remettent encore difficilement du premier confinement.
Consciente de cette situation désastreuse pour les entreprises suite au Printemps 2020, l’Union Européenne a mobilisé des crédits d’un fonds d’urgence pour lancer une campagne européenne de communication visant à stimuler les ventes de fleurs et plantes.
Cette campagne, lancée ce 12 avril 2021 en France, intitulée "Embellissez la vie" est le fruit d’une collaboration inédite de sept organisations européennes de promotion de la floriculture.
Durant trois semaines, les consommateurs de sept pays européens (France, Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Danemark et Pays-Bas) recevront le message positif de cette campagne à la télévision, sur YouTube et dans les points de vente, pour relancer le secteur de la floriculture.
Par ailleurs, depuis plus d’un an, la crise sanitaire contraint chacun d’entre nous à s’adapter sans cesse et à gérer des urgences au quotidien, sans pour autant perdre de vue les enjeux de long terme stratégiques pour nos entreprises.
VAL’HOR, avec l’appui des Présidents des fédérations professionnelles, a mené un lobbying intense auprès des pouvoirs publics pour faire reconnaître l’importance du végétal et sa contribution au bien-être des Français, tout en poursuivant son travail de fond sur les thématiques concourant à la structuration de notre filière et à sa compétitivité.
Ainsi, en matière de logistique, VAL’HOR a poursuivi ses travaux de réflexion qui aboutissent aujourd’hui à la publication d’un guide de bonnes pratiques pour les opérateurs de la filière de l’horticulture, de la fleuristerie et du paysage. »
Mikaël Mercier,
Président de VAL'HOR et Pépiniériste
« La semaine dernière, après une longue attente, nous avons appris l’ouverture opérationnelle du régime d’aide d’Etat de 25 millions d’euros en soutien aux entreprises de production ayant subi des pertes importantes lors du confinement du 15 mars au 15 mai 2020.
Cette mesure est le fruit d’une longue démarche de sensibilisation menée de concert entre VAL’HOR et les fédérations professionnelles de la production horticole française*, auprès des pouvoirs publics, suite aux grandes difficultés rencontrées par les horticulteurs et pépiniéristes, il y a déjà un an.
Les producteurs peuvent, dès à présent, soumettre leur dossier de demande d’indemnisation. Le dispositif est ouvert auprès de FranceAgriMer depuis cette semaine jusqu’au 28 avril.
Cette mise en place effective du dispositif d’aides d’Etat au profit des producteurs et l’autorisation d’ouverture des « commerces de plantes, fleurs, graines, engrais, semences, plants d’espèces fruitières ou légumières » (décret n°2021-296 du vendredi 19 mars 2021), y compris en zones confinées, témoignent du soutien des pouvoirs publics à l’égard de notre filière, de nos entreprises mais plus encore de la reconnaissance de son rôle dans la vie économique et sociale du pays comme dans sa contribution à la qualité de vie des Français.
Cette reconnaissance nous oblige en tant que professionnel. Elle signifie à quel point nos métiers contribuent au bien-être des Français, à leur liberté. Elle nous permet de se projeter sereinement vers les prochains défis sociétaux que nous aurons à relever : la végétalisation des espaces publics et privés, la régulation du climat par le végétal …
Néanmoins, au regard de la dégradation de la situation sanitaire du pays, il convient de faire preuve de vigilance afin de maintenir nos efforts visant à nous protéger, protéger nos salariés et protéger nos clients. Cette attention de chacun au strict respect des protocoles sanitaires et des gestes barrières est essentielle pour nourrir la relation de confiance avec les pouvoirs publics pour aujourd’hui comme pour demain.
Continuez à prendre soin de vous et de vos proches. Bon courage pour ce printemps 2021 qui démarre très fort. »
Mikaël Mercier,
Pépiniériste en Bretagne
Président de Val'hor
*La Fédération Nationale des Producteurs Horticoles et Pépinières (FNPHP), l’Union Française de Semenciers (UFS), la Fédération française de la coopération fruitière, légumière et horticole (Felcoop) et la Coordination Rurale (CR).
« Le Premier ministre a annoncé jeudi 18 mars 2021 un confinement de 4 semaines à partir de vendredi 19 mars 2021 à minuit et ce, dans 16 départements : l'Aisne (02), les Alpes-Maritimes (06), l'Eure (27), le Nord (59), l'Oise (60), le Pas-de-Calais (62), Paris (75), la Seine-Maritime (76), la Seine-et-Marne (77), les Yvelines (78), la Somme (80), l'Essonne (91), les Hauts-de-Seine (92), la Seine-Saint-Denis (93), le Val-de-Marne (94) et le Val-d'Oise (95).
Le décret précisant ces annonces est paru ce samedi 20 mars 2021, il complète la mention de notre activité avec « plantes et fleurs » et va même au-delà de notre code NAF avec « plants d’espèces fruitières ou légumières », « commerces de plantes, fleurs, graines, engrais, semences, plants d'espèces fruitières ou légumières, animaux de compagnie et aliments pour ces animaux en magasin spécialisé ».
En conséquence, toutes les Jardineries et Animaleries de France peuvent poursuivre leurs activités normalement. Cependant, le Conseil d’administration de la Fédération recommande de fermer les rayons jouets, loisirs créatifs et habillement (hors vêtement de jardin et professionnel).
Nous demandons à nos adhérents de continuer d’appliquer strictement le protocole national sanitaire qui leur a été communiqué et notamment la jauge des densités mise à jour. »
Benjamin DEJARDIN, Président de la Fédération des Jardineries et Animaleries de France*
*La Fédération des Jardineries et Animaleries de France est l’organisation professionnelle représentative des distributeurs spécialisés de l’univers du jardin et de l’animalerie. Elle porte la voix des entreprises, sert les intérêts de la profession, valorise les métiers et promeut les bienfaits du vivant en réponse aux enjeux environnementaux.
« Le 28 janvier dernier, nous annoncions notre décision de reporter les JdC Garden Trends, qui devaient initialement se tenir du 7 au 9 avril 2021, et de prendre le temps d’analyser l’évolution de la situation avant de revenir vers vous avec de nouvelles dates.
Forts et confiants du soutien de nos partenaires, fournisseurs et distributeurs, il a été décidé de reporter les JdC Garden Trends du 2 au 4 juin 2021 au Parc Chanot à Marseille. Ces nouvelles dates doivent nous permettre de réunir les conditions nécessaires pour assurer la tenue de l’événement.
Nous sommes conscients que les JdC Garden Trends se tiendront à ces dates sous réserve d’une amélioration de la situation sanitaire et d’un assouplissement des conditions de rassemblements.
Le salon JdC Garden Trends s’est en effet porté candidat en tant que « salon pilote » de la reprise des événements. Nous avons proposé aux autorités concernées, la mise en place d’un protocole sanitaire adapté et nous nous engageons à revenir vers vous après obtention des autorisations nécessaires, au plus tard le 16 avril 2021 afin de confirmer la tenue de l’événement du 2 au 4 juin.
Dans l’attente de cette nouvelle échéance, nous sommes heureux de pouvoir permettre à l’ensemble de nos participants de démarrer le sourcing de nouveaux produits grâce à la nouvelle « base produits » mise en ligne sur le site des JdC Garden Trends. Cette base est accessible à tous les acheteurs de la Distribution Jardin et référence déjà plus de 1 500 nouveautés produits des 320 partenaires exposants des JdC Garden Trends.
Les JdC Garden Trends, début juin, seront un moment clé dans la période de référencements : celui de la confirmation des échanges virtuels, l’occasion pour les acheteurs de faire encore des découvertes à intégrer dans la collection, celui des validations et des dernières négociations.
Nous vous remercions de votre fidélité et de votre attachement aux JdC Garden Trends. »
« La France a la chance de compter deux champions mondiaux des secteurs de l’eau et des déchets, stratégiques pour la transition écologique. Ces deux champions sont engagés depuis six mois dans une guerre fratricide, qui mobilise l’ensemble des énergies des états‑majors et inquiète les salariés. Plutôt que de créer de la valeur et de renforcer leurs positions, elle risque de déstabiliser les deux entreprises dans une période cruciale aussi bien pour les contrats de services dans les territoires que pour le développement des filières environnementales mondiales.
La commission des affaires économiques du Sénat, qui travaille avec celle de l’aménagement du territoire et du développement durable sur ce dossier depuis le mois de septembre, a acquis la conviction qu’il n’y aura de sortie de cette crise que de façon concertée.
Une opération d’acquisition à caractère hostile, qui créerait nécessairement un « gagnant » et un « perdant », serait en réalité une perte pour tous deux et pour le pays. Elle conduirait inévitablement à une destruction de valeur plutôt qu’à un renforcement des positions du pays sur des marchés essentiels pour les collectivités territoriales comme pour la préservation de la planète.
Les évènements intervenus ce dimanche et ce lundi, avec d’une part l’annonce par Veolia du lancement d’une OPA hostile sur la totalité du capital de Suez, et d’autre part la décision de justice en référé suspendant cette OPA, ne concourent pas à un retour au calme salvateur.
La commission estime qu’il appartient au Gouvernement, dans son rôle de garant des intérêts économiques de la Nation, de faire cesser les hostilités entre les deux entreprises et de réunir les parties prenantes pour s’accorder sur un scénario concerté. La décision de justice intervenue ce lundi 8 février 2021 ne représente qu’une suspension temporaire et ne saurait dispenser le Gouvernement de travailler à une sortie de crise.
Pour Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques : « Le ministre Bruno Le Maire estimait il y a une semaine au Sénat qu’" une solution amiable est à portée de main " : il lui appartient désormais de s’assurer que le dialogue soit restauré et de faire aboutir un tel compromis. Le Gouvernement, dont les représentants ont soutenu la cession des parts d’Engie dans Suez à l’été, ne doit aujourd’hui pas s’en laver les mains mais engager les deux parties dans un scénario de sortie de crise ».
Le comité de suivi commun à la commission des affaires économiques et à celle de l’aménagement du territoire et du développement durable, dont les rapporteurs sont Florence Blatrix Contat, Alain Cadec, Gilbert Favreau, Catherine Fournier, Hervé Gillé et Évelyne Perrot, a poursuivi ses auditions pour entendre ce mardi 9 février l’Autorité de la concurrence ainsi que l’Autorité des marchés financiers (AMF).
Le mardi 17 février prochain, les commissions des affaires économiques et de l’aménagement du territoire et du développement durable entendront les fonds Meridiam et Ardian, dans une audition commune qui fera l’objet d’une retransmission. »
La commission des affaires économiques est présidée par Sophie Primas (Les Républicains – Yvelines).
La commission de l'aménagement du territoire et du développement durable est présidée par Jean-François Longeot (Union Centriste - Doubs)
Source : Sénat
Suite à une dernière réunion d’échanges entre le Cabinet du Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, l’Interprofession française de l’horticulture, de la fleuristerie et du paysage (VAL’HOR), la Fédération Nationale des Producteurs de l’Horticulture et des Pépinières (FNPHP), la section horticole de la Fédération française de la coopération fruitière, légumière et horticole (Felcoop), l'Union Française des Semenciers (UFS) et la Coordination Rurale, le ministre Julien DENORMANDIE annonce la validation de la mesure de soutien, dotée d’une enveloppe de 25 millions d’euros, visant à indemniser les pertes de chiffres d’affaire des producteurs subies sur la période de confinement du 15 mars au 15 mai 2020.
Attentif aux impacts économiques majeurs endurés par les entreprises de l’horticulture au printemps dernier, consécutifs à la fermeture de nombreux canaux de distribution, le Ministre avec le président de l’Interprofession et les présidents des fédérations représentant les producteurs se sont accordés collectivement sur les modalités de la mesure de soutien pour l’ensemble de la filière horticole. Cet accord comprend l’allocation d’une enveloppe de 25 millions d’euros et permet d’activer ce dispositif d’aide d’Etat auprès de la Commission européenne par sa notification comme préalable à sa mise en œuvre prochaine.
Pour Julien DENORMANDIE, « la filière horticole est essentielle en France et subit de plein fouet les conséquences économiques de la crise de la Covid-19. Je tenais à leur affirmer notre soutien plein et entier, notamment à travers la mise en œuvre prochaine de l’enveloppe d’aides de 25 millions d’euros, au-delà des mesures transversales de soutien à l’économie auxquelles les entreprises de la filière sont éligibles. Elle peut également compter sur le plan France Relance qui vient en soutien. Nous restons évidemment collectivement vigilants sur les conséquences économiques induites par la crise de la Covid- 19, pour cette filière comme pour l’ensemble des filières. Elles peuvent compter sur nous. ».
Pour Mikaël MERCIER, Président de Val’hor, « L’adoption du dispositif d’aide des 25 millions est une bonne nouvelle. Cette aide était très attendue par les producteurs, dont les pertes subies lors du premier confinement ont été conséquentes. Cela doit permettre d’apporter un secours aux producteurs en difficulté. La filière horticole a beaucoup souffert au printemps dernier, et aujourd’hui encore. Elle souhaite pouvoir se projeter sereinement, dans la perspective d’un printemps à l’horizon éclairci. ».
Source : Val’hor
« Lors de sa conférence de presse du 29 octobre 2020 détaillant les mesures à venir pour faire face à la deuxième vague épidémique, le Premier ministre a annoncé que les Jardineries resteront ouvertes.
Dans la nuit du 29 au 30 octobre 2020, le décret n° 2020-1310 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de Covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire a été publié.
Celui-ci confirme les propos du Premier ministre, les Jardineries et Animaleries sont autorisées à ouvrir, pour l’ensemble de leurs rayons.
Les Jardineries et Animaleries de France resteront ouvertes en continuant d’appliquer rigoureusement le protocole sanitaire et les gestes barrières en vigueur depuis le printemps.
Afin de garantir au mieux la santé et la sécurité des salariés et des clients, le Guide de Bonnes Pratiques sanitaires sera actualisé et envoyé aux adhérents.
Les Jardineries et Animaleries de France se sont toujours montrées responsables depuis le début de la crise sanitaire.
Cette nouvelle reconnaissance de nos commerces comme essentiels à la vie des Français est une confirmation de notre professionnalisme.
Cette autorisation nous engage collectivement à continuer de respecter strictement les protocoles sanitaires et les gestes barrières en vigueur sur nos points de vente, pour nos salariés comme pour nos clients. »
Benjamin DEJARDIN, Président
Jardineries & Animaleries de France
« La crise de la Covid-19 a mis à l’épreuve nos entreprises et aussi nos organisations collectives de représentation. Beaucoup d’entreprises ont été fortement impactées par cette crise, certaines d’entre elles continuent de souffrir. J’en suis conscient et nous continuons d’intervenir.
Cette crise aura aussi été un accélérateur de tendances : le besoin de produits français, la nécessité d’avoir une offre et des outils digitaux adaptés, des nouveaux consommateurs qui s’intéressent à nos produits.
Le plus marquant est certainement l’attrait pour le végétal sous toutes ces formes : les fleurs, les plantes, les jardins, les parcs… Plus que jamais notre slogan s’est vérifié : "le végétal est essentiel à la vie et à la ville".
Dans ce contexte de crise le Conseil d’administration de VAL’HOR, composé des 10 fédérations membres, a dû, comme chaque entreprise, faire des choix et adapter ses actions à la situation, et ce n’est pas fini.
Cette crise démontre aussi que nous travaillons sur les bonnes problématiques : la connaissance des marchés, l’innovation, la logistique, les labels éco-responsables, Fleurs de France, la communication pour nos produits et services. En 2020-2021 nous allons continuer et intensifier nos actions sur certains sujets qui sont essentiels.
Nous avons aussi besoin d’être encore plus connectés avec les consommateurs et nous allons revoir entièrement l’écosystème digital de VAL’HOR, pour mieux informer.
L’ambition est grande pour ma dernière année de mandat : réussir à bâtir un nouveau programme d’actions pour le prochain accord interprofessionnel 2021-2024, en concertation avec toutes les fédérations professionnelles membres.
Je suis convaincu d’une chose : notre filière est une filière d’avenir. »
Mikaël MERCIER
Président de VAL’HOR
« Nous faisons suite à la déclaration de Monsieur Pierre Hurmic, maire de Bordeaux, à l’occasion de sa conférence de presse de rentrée, lors de laquelle l’édile affirme qu’il n’ornera pas la ville « d’arbres morts de Noël ».
Par ces déclarations, Monsieur le maire s’offre une couverture médiatique à bon marché tout en jetant l’opprobre sur toute une profession et porte atteinte à notre production et à nos emplois. Monsieur Hurmic n’apporte pourtant aucune caution scientifique et fait preuve d’une réelle méconnaissance du monde agricole ce qui nous étonne de la part d’un élu sensible aux questions écologiques.
Nous tenons à exprimer notre vif mécontentement suite à ce discours dont la teneur semble avoir pour seul objectif d’attaquer le symbole que représente le sapin de Noël naturel, au motif qu’il soit responsable de la déforestation et du réchauffement climatique, et de discréditer notre profession et l’ensemble de notre filière.
Réduire les professionnels français du sapin de Noël naturel à de simples producteurs « d’arbres morts » relève, selon nous, d’une vision dogmatique, sans aucun fondement, qui vise clairement à nier une tradition familiale appréciée et largement suivie, comme à détourner les français du sapin de Noël cultivé en France.
Nous tenons à rappeler que le sapin de Noël naturel est bien un produit de culture. Depuis le 24 mars 2003, date du décret ministériel reconnaissant la culture du sapin de Noël comme une activité agricole à part entière, il n’y a aucune ambiguïté par rapport au sujet de la déforestation. L’arbre de Noël n’est pas un sapin sauvage déraciné en forêt mais bien une plante cultivée.
Pour chaque sapin proposé pour les fêtes de Noël, un nouvel arbre est replanté lequel absorbera le carbone émis dans l’atmosphère. La balance carbone du sapin de Noël cultivé en France lui est largement favorable.
Les membres de l’Association Française du Sapin de Noël Naturel (AFSNN) s’attachent à cultiver des sapins dans le plus strict respect des normes et réglementations en vigueur et font le choix de privilégier une production locale raisonnée et génératrice d’emplois.
C’est pourtant bien un mauvais procès fait au sapin de Noël, porté par les propos excessifs de Monsieur Hurmic.
Le sapin de Noël est le symbole des fêtes de fin d’année, une tradition solidement ancrée dans notre culture et auquel les français restent très attachés. Il fait le plaisir des enfants qui le décorent et des familles qui se regroupent chaque année autour de lui.
Quoiqu’en pense Monsieur Hurmic, les français plébiscitent le sapin naturel qui illustre également un lien social intergénérationnel particulièrement indispensable en ces temps difficiles. Tant qu’il en sera ainsi, il y aura des producteurs de sapins soucieux de la préservation de l’environnement et de l’activité de leurs régions.
L’Association Française du Sapin de Noël Naturel lui souhaitera néanmoins d’excellentes fêtes de fin d’année.
Nous vous prions de recevoir nos sincères salutations. »
Frédéric NAUDET
Président de l’Association Française du Sapin de Noël Naturel
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