Depuis 20 ans, VERDIA propose, non seulement aux jardiniers amateurs mais aussi aux professionnels des espaces verts, des rosiers à la fois résistants, florifères et sans entretien. S’ils sont un véritable atout économique pour le secteur de la jardinerie et du paysage, ces rosiers constituent également un argument écologique de poids pour l’avenir des jardins. Car en 20 ans, plusieurs millions de DECOROSIERS® ont été plantés en France…

L’espace urbain en recherche de renaturation

Plébiscité par la Fédération Française du Paysage dans ses dernières parutions 2020, la ville de demain sera plus écologique et intégrera davantage de Nature. Que ce soit par la gestion des îlots de chaleurs, de la gestion durable des écoulements d’eau, par la régénération des sols ou par la renaturation de l’espace urbain, le végétal prend et prendra une place de plus en plus capitale dans l’espace urbain.

En 20 ans, plusieurs millions de DECOROSIERS® ont été plantés en France. Comme l’indique un responsable espaces verts de l’Essonne : « Pour une meilleure gestion de notre travail, on cherchait des plantes faciles, décoratives, pour remplacer les annuelles qu’il fallait changer tous les ans ! Les DECOROSIERS® étaient une évidence : on les mélange avec les vivaces avec qui ils s’associent très bien et ils apportent le fleurissement maximal en ville. »

L’exode urbain : des habitants en recherche de naturalité

C’est un fait depuis quelques années, largement renforcé par les confinements, que nous vivons. L’exode urbain s’accélère avec un taux de désertion de la capitale et des grandes métropoles vers les campagnes qui se renforce chaque année, dopé par l’incitation au télétravail. A Paris, la rentée 2020 a enregistré 3 700 élèves de moins sur un an, un des indicateurs tangibles, appuyé par les réseaux immobiliers, premiers observateurs de ce phénomène.

L’Obsoco pour NEXITY révèle, en 2020, que 88% des habitants de l’agglomération parisienne songerait à partir en province, un record enregistré. « Les Français n’ont jamais été aussi désireux d’espaces extérieurs, quitte à changer leurs habitudes et à s’éloigner de leur lieu de travail » indique NEXITY. C’est aussi une recherche de sens qui portent les achats actuels et pour l’avenir.

Avec la majeure partie de leur production réalisée par des pépiniéristes locaux, les DECOROSIERS® réalisent peu de kilomètres entre le lieu où ils sont produits et là où ils sont plantés. Un point important pour la marque et pour les consommateurs qui sont 36% à faire attention au lieu de production de leurs achats (Statista Sept2019) et 92% à faire confiance à un affichage régional du produit (Kantar, avril 2019). « Nos clients sont de plus en plus demandeurs de sens et de durabilité ».

C’est ce que ressentent les producteurs/revendeurs en vente directe : « Avec cette plante, il est facile de les rassurer car nous maîtrisons entièrement son cycle de production en local et assurons une durabilité dans le temps. C’est une bonne valeur sûre pour nous ». Dans cette direction, DECOROSIERS® accompagne également les enseignes de jardinage qui sont de plus en plus nombreuses à s’engager dans une démarche écologique.

La majorité des enseignes de la distribution spécialisée est en phase de rapprochement avec la production française en vue d’augmenter le pourcentage de leurs fournitures végétales d’origine française. Pour exemple, l’annonce de Gamm Vert avec « l’ambition d’une offre végétale à 90% française et issue à 50% d’engagements contractualisés dès 2025 ».

Le rosier : une valeur sûre en plein renouvellement

« Le style naturel est devenu un incontournable des rayons depuis quelques années. Il est assuré d’une longévité chez le particulier et le professionnel grâce aux vents porteurs de la tendance nature qui déferlent sur tous les aspects de notre vie. Par son esprit authentique, familial et autonome, le rosier paysager est la définition même d’un « bon » buisson dans le contexte actuel du jardin » indique Manuel RUCAR du cabinet de tendances du jardin CHLOROSPHERE.

Depuis quelques saisons, les plantes historiques de nos jardins regagnent en effet leurs lettres de noblesse auprès des jeunes générations et les influenceurs le prouvent avec des comptes instagram qui fourmillent de tulipes, dahlias et autres pivoines. C’est le sentiment d’Edoardo, Instagramer sous le pseudonyme et la marque de bulbeuses gaspardatable « les fleurs anciennes, oubliées, généreuses apportent cette madeleine de Proust que nous avons tous envie et besoin de retrouver en ces temps troublés ».

Cette nouvelle génération montante qui représente 45% de la population active (Inflexia 2019) devrait démographiquement représenter la majorité influente de la consommation d’ici 2030 (U.S. Census Bureau), un enjeu à prendre donc au sérieux.

La rose n’est pas en reste, comme l’indique Pascal Griot du site de vente en ligne Promesse de Fleurs : « Depuis plusieurs saisons, nous avons une demande qui s’accroît naturellement sur la rose. Notre client moyen, plutôt jeune par rapport au marché des jardineries, guide cette demande. Les gens recherchent des rosiers sans entretien, avec un look naturel, nous avons même été surpris à l’automne 2020 par une demande très importante occasionnant même certaines tensions dans la chaîne d’approvisionnement, si le marché était plutôt vieillissant, il se trouve aujourd’hui en reconquête par des variétés plus simples, plus résistantes et sans entretien. »

La rose : au jardin ou dans le vase ? Ou les deux ?

C’est aussi une recherche de (bon)-sens qui s’opère alors que la rose en fleurs coupées est de plus en plus décriée pour la saint Valentin pour son impact environnemental. La rose de jardin, en été, a la cote chez les fleuristes comme l’indique Florent Moreau, président de la fédération française des fleuristes : « La rose monotige est un grand classique chez le fleuriste, traditionnellement notre meilleure vente. On constate toutefois des évolutions dans le choix de cette rose, un bouton plus gros, plus ferme, des variétés qui retrouvent les caractéristiques de roses anciennes ou de jardin sont désormais largement plébiscitées par le consommateur, le plus souvent aux tonalités pastel. La rose branche, trouve, elle sa place au sein de bouquet aéré et romantique, rarement à offrir seule, elle est souvent la fleur incontournable d’un bouquet sobre, simple et élégant. Les deux variétés ont donc une place de choix chez le fleuriste pour le client, avec cependant des utilisations différentes pour chacune. »

Si on considère qu’un bouquet de roses importées pour la Saint Valentin représente l’équivalent en consommation carbone d’un aller-retour Paris-Londres en avion (Lancaster University 2017) alors on comprendra aisément qu’un bouquet du jardin s’impose avec une floraison de DECOROSIERS® qui débute parmi les plus précocement dans la saison.

En fleurs coupées, c’est aussi une tendance, la direction du style de l’enseigne « Au nom de la Rose », spécialiste évident de cette fleur l’indique : « La rose de jardin connaît depuis quelque temps une progression exponentielle. Bien entendu elle n’est pas encore aussi présente que la rose hybride de thé, monotige, mais c’est un phénomène que nous voyons clairement chez nos clients, ce désir pour des variétés branchues au style presque plus sauvages, authentiques ».

Nature, permaculture et jardin punk : quelle place pour le rosier ?

Aujourd’hui, certains jardiniers prônent un jardinage paresseux, sans intervention humaine ! En étant une belle réserve de pollen pour les pollinisateurs, le rosier est aussi une barrière naturelle assez dense qui peut tout à fait entourer un espace potager. Les DECOROSIERS® sont naturellement résistants et sans besoins de taille ou d’entretien, ils constituent donc de précieux alliés pour le néo-jardinier.

Avec 78% des Français qui entretiennent un espace extérieur (Kantar 2020) pour se délasser et passer un moment agréable, cette marque apporte une valeur sûre de tranquillité. C’est ce qu’indique Tom le Jardinier, Youtuber Franco-Suisse sur le secteur du jardin « aujourd’hui les gens demandent des conseils pour un jardin en permaculture, sans entretien et qui respecte le plus possible la nature, certaines plantes accompagnent ce mouvement d’eco-conception du jardin et trouvent un nouveau public chez des populations plus jeunes. »

La gamme VERDIA s’est aussi enrichie au fil des années de nombreuses couleurs mais aussi de variantes comme ROSANATURA® avec son look bohème ou encore VOLUPTIA® et ses quatre déclinaisons parfumantes au jardin, de quoi contenter tous les goûts. Une histoire qui a encore de nombreux chapitres à écrire pour l’avenir des jardins et espaces verts.

Bon à savoir :

• Résistance naturelle aux maladies, rusticité ;
• Floraison/Fructification exceptionnelle ;
• Entretien minimum et utilisations multiples ;
• Facilité de plantation et d’entretien ;
• Production 100% française ;
• Variétés protégées et marques déposées.

Quelques dates :

• 1992 : Lancement de l'activité avec Vincent LEURENT, fondateur de VERDIA, et la commercialisation de la première variété éditée par VERDIA : EMERA, rosier arbustif exceptionnel, résistant aux maladies et très florifère.
• 1994 : Lancement d'OPALIA.
• 1997 : Lancement de MAREVA.
• 2000 : Lancement de SUNEVA.
• Lancement officiel de la gamme et marque DECOROSIERS.
• 2007 : Lancement du DECOROSIERS KADORA.
• 2009 : Reprise de VERDIA par Olivier MATHIS.
• 2010 : Lancement du DECOROSIERS ISALIA.
• 2019 : Diversification de VERDIA et lancement des gammes de fruitiers FRUITALITY et rosiers ROSANATURA.

Source : Verdia