A l’occasion de la 14ème édition de Jardins, Jardin, l’UPJ souhaite rappeller la place essentielle des jardins dans l’environnement urbain lors de la remise des Trophées ExcELLEnce du Women’s Garden Executive Club (WGEC) ce jeudi 1er juin. Pour Nicolas Marquet, nouveau Directeur de l'UPJ « L’Union des entreprises pour la Protection des Jardins et des espaces publics reste mobilisée pour innover et mettre à disposition des femmes passionnées par les plantes les meilleures solutions pour les nourrir, les protéger et les soigner si nécessaire »...
Le jardinage urbain : le végétal au service des villes
Si l’urbanisation de la population a modifié les rapports qu’entretiennent les Françaises avec leur environnement naturel, le sondage réalisé pour le WGEC auprès d’un large panel de femmes, révèle que le jardin reste un lieu d’expression où l’on (re)trouve le plaisir du contact avec la nature. Qu’ils soient publics ou privés, les jardins participent à l’embellissement et à l’amélioration du cadre et dela qualité de vie. « Nous souhaitons encourager la pratique d’un jardinage responsable et promouvoir cette passion auprès du plus grand nombre », a déclaré Nicolas Marquet Directeur de l’UPJ.
Le jardin doit rester à la portée de tous
Dans le cadre de ce sondage, 2 questions ont porté spécifiquement sur la loi 2014/110 qui interdit depuis le 1er janvier 2017 la vente en libre-service des produits phytosanitaires de synthèse aux particuliers avant une interdiction totale en 2019. Selon Nicolas Marquet, « il est primordial de proposer aux jardiniers amateurs les moyens d’entretenir simplement et efficacement les jardins. Et il est très encourageant de voir que 53% des sondées ont bien conscience des enjeux de santé du végétal puisqu’elles recherchent d’autres solutions suite à ces interdictions. Si aller vers un jardinageavec des produits naturels est une bonne chose, il faut néanmoins du temps. Nous n’avons pas encore aujourd’hui de solutions de biocontrôle ou utilisables en Agriculture Biologique (UAB) pour tous les problèmes rencontrés par les jardiniers ou les collectivités. On l’a bien vu d’ailleurs pour ces dernières puisque des exemptions à l’interdiction d’utilisation des produits de synthèse ont d’ores et déjà été adoptées dans le cadre de la loi 2017/348 en cas de dangers sanitaires graves menaçant la pérennité du patrimoine historique ou biologique».
La Clinique des plantes : protéger et nourrir les plantes
Afin d’informer et d’aider le jardinier au quotidien, l’UPJ a créé la Clinique des plantes dont l’objectif est d’apporter un diagnostic santé de leurs plantes, et de les sensibiliser aux bons gestes. « Traiter, c’est pas automatique, tout commence par un diagnostic », telle est la devise de cet outil fondé sur l’identification visuelle et décliné depuis ce printemps sous forme d’application pour smartphone. « L’UPJ reste mobilisée pour innover et mettre à disposition des femmes passionnées par les plantes les meilleures solutions pour les nourrir, les protéger et les soigner si nécessaire », conclut Nicolas Marquet.
A propos de l’UPJ :
L’UPJ, Union des entreprises pour la Protection des Jardins et des espaces publics, est l’organisation professionnelle de référence en matière de jardins et d’espaces publics. Créée en1994, l’UPJ regroupe aujourd’hui 27 sociétés couvrant les domaines des produits de protection des plantes, des amendements organiques, des supports de culture (terreaux), des engrais, et des biocides. La mission première de l’UPJ est de sensibiliser les jardiniers professionnels et amateurs à un jardin responsable. Un jardinage responsable passe par l’utilisation de produits d’entretien et desoins de jardin adaptés, à la bonne dose, au bon moment, et dans le respect de la santé des jardiniers et de l’environnement. L’UPJ prône la coexistence intelligente entre les produits de synthèse, lesproduits naturels et les techniques complémentaires dans la gestion des espaces verts ou dans les pratiques de jardinage. Cette fédération professionnelle est, de longue date, un partenaire engagé auprès des pouvoirs publics et de l’ensemble des parties prenantes.
Source : UPJ